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Le mois dernier, deux toiles de Joseph Caniglia ont été prêtées pour l'occasion d'un travail en collaboration avec Didier Jarlan, photographe, et Maryse Chareteur, maquilleuse.
La parfaite adéquation entre ces deux derniers offre un résultat d'une rare beauté, savant mélange de science-fiction et de tradition nippone, qui fonctionne ici comme un prolongement extra-réaliste de l'univers du peintre.
La mise ne valeur des toiles n'aurait pû, évidemment, se faire sans la superbe plastique du modèle, (Ici: Jennyfer, et plus bas: Lyse) à la fois mystérieux, et proche de l'oeil du spectateur.
Il est rare, sinon difficile, de superposer trois atrs picturaux sans qu'un d'eux ne prédomine évidemment sur les autres.
Qui des trois selon vous offre le plus de matière à l'imaginaire: la peinture, la plastique, ou la photographie?
Nulle raison de s'interroger vainement, seule importent l'admiration, le rêve et le dépaysement.
N'hésitez pas à retrouver Didier Jarlan sur son site: http://www.photojarlan.com, ainsi que Maryse Charreteur au
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